Deux dimanches, c’est du bon sens
Un compromis simple pour soutenir nos commerces genevois et faciliter la vie de toutes et tous.
Voir la vidéoPourquoi c’est utile
Soutenir nos commerces genevois
Gardons les achats à Genève au lieu de les voir partir ailleurs, notamment à l’approche des fêtes.
Un compromis raisonnable
Deux dimanches par an, pas plus : un équilibre entre commerce et vie sociale.
Pratique pour toutes et tous
Familles, étudiants et seniors : un peu plus de souplesse pour s’organiser lorsque c’est nécessaire.
Travail volontaire, valorisé & protégé
Travail dominical sur base volontaire et mieux rémunéré, avec des compensations adaptées et la protection des vendeuses et vendeurs.
Cohérent avec la Suisse
Dans d’autres cantons, jusqu’à quatre dimanches sont autorisés ; Genève reste modérée avec deux.
On a déjà dit OUI
Réaffirmons un choix déjà validé par les Genevoises et Genevois (2019).
Ce que dit la loi
- 2 dimanches par an jusqu’à 17h.
- Basé sur le volontariat du personnel.
- Compensations d’usage : salaire dominical majoré, repos compensatoire.
- Aligné sur le cas déjà pratiqué du 31 décembre.
Témoignages
Commerçant·e
Étudiant·e
Famille / senior
FAQ
Le volontariat est‑il garanti ?
Oui. La loi prévoit que travailler le dimanche reste volontaire et que le personnel bénéficie d’un salaire majoré et de repos compensatoire selon les usages.
Pourquoi seulement deux dimanches ?
Deux dates permettent un compromis équilibré : soutenir le commerce local sans bouleverser le rythme de vie et le repos dominical.
Qu’en est‑il des conditions de travail ?
La loi s’appuie sur les usages existants : le personnel doit être volontaire et bénéficie d’un salaire dominical majoré ainsi que d’un jour de congé compensatoire.
Participez
Téléchargez les visuels, partagez‑les autour de vous et dites OUI à 2 dimanches par an.
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