Pourquoi seulement deux dimanches ?
Un compromis équilibré pour tous les acteurs de la société genevoise.
Nos cinq raisons clés
Soutenir le commerce local
En autorisant l’ouverture de deux dimanches par an, nous permettons aux magasins genevois de conserver des ventes qui seraient autrement réalisées à l’étranger. C’est une mesure concrète pour maintenir l’activité et préserver des emplois au sein du canton.
Un compromis réfléchi
Deux dimanches constituent une solution mesurée qui respecte à la fois les besoins du commerce et les valeurs sociales. Cette limite évite une banalisation du travail dominical et maintient l’exceptionnalité de ces ouvertures.
Souplesse pour les habitants
Avec des rythmes de vie toujours plus chargés, les familles, les étudiants et les personnes âgées apprécient une possibilité supplémentaire de faire leurs achats à un moment qui leur convient. Ces deux dimanches facilitent la vie sans bouleverser nos habitudes.
Respect des travailleurs
Le projet repose sur le volontariat du personnel et prévoit des compensations financières et en temps de repos. Travailler le dimanche devient un choix mieux rémunéré, compatible avec l’équilibre personnel des employés.
Harmonisation avec la Suisse
Dans la plupart des autres cantons, les commerces peuvent ouvrir jusqu’à quatre dimanches sans autorisation spéciale. Genève reste prudente avec deux, ce qui renforce sa compétitivité sans excès et en ligne avec le droit fédéral.
Aller plus loin
Ces deux dimanches s’inscrivent dans une évolution globale des habitudes de consommation et des usages. Ils ouvrent la voie à un commerce genevois plus dynamique et à une meilleure qualité de service pendant les périodes de forte affluence, notamment en décembre. Pour en savoir plus sur la loi et ses effets, consultez notre FAQ ou nos argumentaires détaillés.